2019.2333.3

Soutenir la Côte d’Ivoire dans sa lutte contre la corruption et le blanchiment d’argent

Good Governance for investment and employment
Auftraggeber
Bundesministerium für wirtschaftliche Zusammenarbeit u. Entwicklung
Dauer
Partner
Wirtschafts- und Finanzministerium
Statue dorée de Justitia, la déesse de la Justice.
© iStock.com/georgeclerk
Des experts de la Cour des comptes examinent la gestion des ressources dans le bassin du fleuve Niger.
© GIZ/Celestin Ankamtsene

Situation initiale

La Côte d’Ivoire connaît une forte croissance économique et une stabilité politique. Le pays a également réalisé des progrès significatifs en matière de bonne gouvernance, comme en témoigne sa nette amélioration dans l’indice de perception de la corruption de Transparency International, avec un score de 45 sur 100 en 2024.

Mais ces avancées ne sont pas encore suffisamment perceptibles au sein de la population, ce qui met en péril la stabilité politique et le développement à long terme. La Côte d’Ivoire doit maintenant redoubler d’efforts pour continuer à progresser et s’assurer que la population en profite encore davantage.

Objectif

Le cadre institutionnel propice au renforcement de l’intégrité, de la transparence et de la redevabilité dans l’administration et le secteur privé s’est amélioré.

Une femme lève le poing devant un stand d’information du projet.
© GIZ/Sonia Yeboua

Approche

Le projet collabore avec des institutions de contrôle des finances publiques comme la Cour des comptes ivoirienne. Il les aide à mettre en œuvre des audits de performance. Ces audits vérifient non seulement que les institutions publiques utilisent leurs finances de manière légale, mais aussi quels résultats elles obtiennent avec ces ressources.

En outre, le projet forme les agent·e·s des services de répression pour améliorer la lutte contre la corruption et le blanchiment d’argent. Il soutient notamment le Pôle pénal économique et financier (PPEF) et la Cellule nationale de traitement des informations financières (CENTIF). Il implique en outre d’autres acteurs tels que l’Agence de gestion et de recouvrement des avoirs criminels (AGRAC) et des unités de police spécialisées.

Le projet forme également des organisations de la société civile. Elles peuvent ainsi contrôler l’efficacité de l’action publique; ce qui sert de fondement à un dialogue entre les citoyen·ne·s et l’État.

Trois hommes déchargent une cargaison de cocaïne saisie.
© GIZ/Ingrid Kouassi

Dernière mise à jour : mars 2025

Weitere Projektinformationen

CRS-Schlüssel
15113

Entwicklungspolitische Kennungen

Hauptziel:

  • Demokratische und inklusive Regierungsführung

Signifikantes Nebenziel:

  • Gleichberechtigung der Geschlechter

Zuständige Organisationseinheit
1600 Westafrika 2 und Madagaskar

Nachfolger-Projekt
2022.2205.7

Auftragsvolumen (aktuelles Projekt)
10.103.185 €

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