Résilience socio-économique des jeunes -Le PARSE III est lancé

Le lancement de la troisième phase du PARSE (Projet d’Appui à la Résilience Socio-Economique des jeunes vulnérables au Nord du Cameroun), s’est tenu le 04 Avril 2023 dans la ville de Garoua en présence des membres du Comité de Pilotage (COPIL), notamment le Ministre de la Jeunesse et de l’éducation Civique (MINJEC), Monsieur Mounouna Foutsou, par ailleurs Président du COPIL, les représentants des plusieurs autres ministères, la présidente du CNJC, le Gouverneur de la région du Nord, quelques jeunes bénéficiaires et autres partenaires et parties prenantes.

Dans son allocution, le Directeur Administratif et Financier Monsieur Stefan Roth, représentant du Directeur Résident de la GIZ Cameroun, a tenu à remercier le Gouvernement Camerounais et le Ministère de tutelle qu’est le MINJEC. Il a souligné la pertinence du projet PARSE à travers les actions menées dans les phases 1 et 2 à l’endroit des jeunes par cette affirmation : « Je suis convaincu qu’ensemble nous aurons le même succès avec cette phase pour construire le développement de l’avenir des jeunes dans les 03 régions du Nord Cameroun ». Il rappelle à cet effet que cette Coopération est le fruit d’une étroite collaboration entre le gouvernement allemand et celui du Cameroun.

Le MINJEC pour sa part a tenu à mentionner la genèse du projet. Il a en ces termes déclaré : « le projet PARSE a été conçu à partir des orientations des politiques nationales en vue d’apporter une réponse idoine aux problèmes de la jeunesse de cette partie du nord-Cameroun ». Il interpelle les jeunes à saisir les opportunités qu’offre le PARSE par cette déclaration : « Nous appelons la jeunesse à se mobiliser pour bénéficier de cet important projet dans les dix-sept Communes concernées surtout que le mécanisme de mis en œuvre implique leur participation active. »

Il faut noter que la 3ème phase du PARSE continuera dans les 17 Communes d’intervention avec des orientations différentes que celles des précédentes phases pour une durée de trois ans avec un budget de 5 millions d’euro financé par le BMZ qui sera mis sur pieds par la GIZ.