Elisabeth Gager
La production électrique d’origine solaire et éolienne et l’hydrogène vert ouvrent de grandes opportunités à l’Algérie. Sur le long terme, ce sont des moteurs éventuels de développement économique et de création d’emplois. Or, pour l’instant, le pays n’exploite pas pleinement ce potentiel.
L’économie algérienne utilise davantage les énergies renouvelables et l’hydrogène vert pour réduire ses émissions de gaz à effet de serre et promouvoir la croissance et l’emploi.
Le projet promeut les énergies renouvelables et le secteur de l’hydrogène vert afin de réduire les émissions de gaz à effet de serre. Il soutient de ce fait la croissance et l’employabilité dans les villes et les communes. Pour ce faire, il intervient dans quatre champs d’action, en déployant principalement des activités de conseil, d’études et de formation :
La composante 1 aide les institutions algériennes responsables à étendre leurs compétences afin qu’elles soient en mesure de développer de grands projets d’énergies renouvelables (EnR) et de les intégrer dans le réseau électrique.
La composante 2 apporte en outre un conseil visant à améliorer les conditions institutionnelles, techniques et humaines qui entourent la réalisation de projets EnR de taille moyenne.
La composante 3 développe en collaboration avec le ministère algérien de l’Énergie et des Mines (MEM) les grands instruments incitant à mettre en place une économie de l’hydrogène vert.
La composante 4 aide les décisionnaires du monde politique et économique à rassembler et exploiter des informations sur le potentiel d’une production nationale d’hydrogène vert recourant à l’hydrogène gazeux (GH2) et transformant les énergies renouvelables pour leur stockage (Power-to-X).
